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stephane Invité
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Posté le: Mer 02 Mai 2001 23:19 Sujet du message: Que reste-t-il des Grands Boulevards ? |
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Une salle de plus a ferme definitivement dimanche soir sur les Grands Boulevards : le Gaumont Opera Imperial, ex-Pathe Imperial. |
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Philippe Invité
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Posté le: Jeu 03 Mai 2001 23:16 Sujet du message: Re: Que reste-t-il des Grands Boulevards ? |
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Et oui c'est triste ! Encore un ancien cinéma ( il datait de 1926 ! ) qui disparaît... sacrifié une fois de plus par la Gaumont qui a sûrement réalisé une plus-value juteuse pour permettre l'installation d'un magasin de fringues ou d'un fast-food... |
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stephane Invité
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Posté le: Sam 05 Mai 2001 14:00 Sujet du message: Re: Que reste-t-il des Grands Boulevards ? |
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Sur ce sujet, etrangement, aucune information dans la presse professionnelle. |
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lise Invité
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Posté le: Jeu 20 Déc 2001 12:37 Sujet du message: Re: Que reste-t-il des Grands Boulevards ? |
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Cela sonne très nostalgique : que restent-ils des grands boulevards? On entend en arrière fond Montand.
Quelqu'un peut-il me dire à partir de combien d'entrée une salle peut-elle "tenir"?
J'imagine que cela dépend de l'emplacement et des charges afférentes au lieu, mais un chiffre juste pour avoir une idée... (je m'adresse plut^ot aux Parisiens, je suis dans le IXe)
JP Mocky se bat avec son cinéma dans le 10e, bd de Strasbourg, le nom m'échappe. Comment fait-il pour tenir ? Le cinéma des cinéastes Avenue de Clichy représente une réussite aussi, me semble-t-il. C'est une question, on peut me démentir. Existe-t-il une chance pour les cinémas différents ? |
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Jean Noel Invité
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Posté le: Dim 30 Déc 2001 12:22 Sujet du message: Re: Que reste-t-il des Grands Boulevards ? |
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Vous donnez la réponse vous-même à votre question ... Il n'y a pas de chiffre fixe ou un ratio fixe. Tout dépend du type de salle, de ses frais d'exploitation (bail si bail il y a, frais de personnel) etc...
Comme nous parlions du Max-Linder, c'est une équipe au grand complet (accueil, administratif et technique) qui est demandée *sans polyvalence*. Donc son seuil de rentabilité est très élevé (il faut beaucoup remplir pour dégager des bénéfices).
Si on prend une salle avec polyvalence partielle du personnel (ex un opéarteur fait l'accueil et l'administratif en plus de la technique), on abaisse d'autant les charges (bien que souvent ces personnes soient Agent de Maîtrise ou cadres assimiilés). Ce sont les stigmates du circuit Parafrance repris dans certaines salles Gaumont.
Le cas Mocky: Il s'en sort car il a quelques subvensions et qu'il met un peu la main à la poche (il pleure toujours misère, mais il a du fric). Et puis pas ou peu de frais de distribution car il passe souvent ses propres films !!!! (avec des fins de série) et je ne parle pas des frais de fonctionnement car là la polyvalence du personnel est au maximum. Avec peu d'exigence sur le plan technique et de qualification du personnel...
Dans le cas de l'Impérial, il était plus intéressant à court terme de vendre (il faut qu'EuroPalace recharge la pompe à finance après les quelques bides Gaumont) que d'exploiter une salle sur les Gds Boulevards. La salle tournait en rentabilité (au moins ne perdait pas d'argent), mais les bénéfices n'étaient pas suffisants pour les gestionnaires du Siège. Donc vente de la salle ou du bail (si c'est un niveau 2) était à court terme plus souhaitable que d'exploiter un mini-complexe peu rentable.
C'est purement et simplement un problème de stratégie financière (ex Gaumont/Europalace) ou d'inadaptation de la structure de la salle au cinéma actuel.
Donc il est impossible de vous donner un nombre d'entrées "ciritique" ou il faudrait le faire salle/salle. Le Max Linder n'est pas géré comme le Gaumont Kinopanorama qui lui même n'est pas géré comme l'Italie etc ..... |
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